Album sans texte d’Anne Moreau-Vagnon
photographié par François Vagnon
publié en 2007 aux éditions Le Textuaire
L’album « La Ville en Chantier » (isbn N° 9782353900060) n’est plus disponible en librairie, vous pouvez toujours vous le procurer auprès de l’auteur, au prix de 14 €(frais de port inclus en France métropolitaine).
« Donner une seconde chance à des objets au rebut, construire une ville en fouillant dans une décharge, inventer avec poésie un univers et pourquoi pas prolonger soi même l’histoire. »
« Ils ne sont que deux ces personnages en pâte à modeler, mais aussi petits soient-ils, ils ont l’énergie nécessaire pour construire sous nos yeux une ville à leur mesure,en faisant preuve d’astuce et de détermination. »
quelques images du livre
Fiches pédagogiques
Dix fiches pédagogiques, en lien avec cet album ont été conçues, principalement pour les enseignants de maternelle, primaire, et classe C.L.I.S.
N’hésitez pas à prendre contact avec l’auteur, ces fiches sont gratuites, elles vous seront envoyées par mail.
Film d’animation
Cet album a fait l’objet d’une adaptation pour un film d’animation qui a été réalisé en stop-motion.
Réalisation : Anne Moreau-Vagnon
Images et Montage : François Vagnon
Sons : Henri-Pierre Pellegrin
making-of
Le plus gros travail a été de rassembler le maximum d’objets de récupération pour les transformer : par exemple un rouleau de scotch et quatre boutons deviennent un landau. Dans mon atelier, j’ai assemblé et peint les objets en blanc, pour leur donner une unité de matière et de couleur.
Cela permet une vision en deux temps : l’objet qu’il est devenu et après observation, les objets qui ont permis de le construire.
Comme pour certains films d’animation en volume (type Wallace et Gromit) je ne déformais pas un personnage à chaque prise de vue. J’avais modelé le même personnage dans différentes attitudes et modelé plusieurs têtes avec des expressions différentes.
Pour les prises de vues, il était plus simple de les faire dans l’ordre inverse. C’est à dire qu’avec le photographe nous avons « déconstruit » la ville au cours des prises de vues.
Afin de pouvoir choisir le ciel de la ville après les prises de vues et ne pas être lié à l’échelle des objets, les prises de vues ont été faites devant un « fond d’incrustation bleu ». Ceci a permis comme pour les films à effets spéciaux de substituer l’arrière plan en trucage numérique.
quelques images du making-of